Ayant complété avec succès des études en communications à l’Université Concordia (B.A. Comm – film studies 1975), Daniel Vincelette a entrepris de faire son chemin sur les plateaux de cinéma en travaillant d’abord comme assistant-caméraman puis cadreur pour d’éminents directeurs-photo québécois et également pour des chefs-opérateurs de renommée internationale tels Billy Williams bsc (Gandhi, On Golden Pond) ou encore Willy Kurant afc, asc (The Deep). Il a par la suite été appelé à faire de la direction-photo de deuxième équipe sur toutes sortes de projets dont certains d’envergure comme “Grey Owl” et “HighlanderIII”, pour enfin faire sa propre place et se faire reconnaître comme directeur-photo.
Grâce à ces apprentissages très diversifiés ainsi qu’à ces influences tant québécoises qu’européennes, son travail de direction-photo a par la suite couvert un large spectre, de la série télé populaire comme par exemple “Paparazzi”, “Les Steinbergs” ou “Undressed”, en passant par une impressionnante quantité de téléfilms pour les réseaux câblés, principalement américains, et plusieurs longs-métrages tels “Caboose” ou “Le Marais”, film pour lequel il a été mis en nomination pour les prix Jutra et Canadian Society of Cinematographers de la meilleure direction-photo en 2003. Il a aussi tourné des séries documentaires comme “Les mémoires de Pierre-Elliot Trudeau” et quantité de commerciaux.
Depuis la fin de ses études, Daniel Vincelette a été un membre éminent de la communauté filmique de Montréal et s’est tôt impliqué dans la représentation des techniciens du cinéma et de la télévision auprès des instances politiques. Il a été membre de comités conseils tel le ‘Conseil national du cinéma et de la télévision’ et a aussi conçu, planifié et donné de multiples ateliers professionnels pour ses collègues. Il s’est également intéressé de près à l’effet et à l’application des nouvelles technologies numériques sur les plateaux et sur tout le procédé cinématographique et a fait plusieurs recherches en ce sens. C’est d’ailleurs dans ce cadre de recherche qu’il est devenu le premier directeur-photo au monde à produire, tourner et post-produire un court-métrage (Le Gant - 2004) utilisant du début à la fin un procédé numérique 4K en tournant avec le prototype de la caméra Origin de DALSA et post-produisant en 4K chez Éclair en France. Il a par la suite été invité à prononcer des conférences et donner des ateliers sur ce sujet et le cinéma numérique en général au Canada, USA, France et Espagne, toujours heureux de partager ses expériences avec ses collègues cinéastes.
Sur les plateaux de tournage, Daniel Vincelette est réputé pour son ardeur au travail, son calme et sa convivialité, sa créativité et sa grande sensibilité qui l’ont rapproché des réalisateurs avec qui il a travaillé, mais également fait apprécier des acteurs qui trouvent en lui un collaborateur complice et un professionnel critique toujours prêt à leur tendre la main.
Ayant complété avec succès des études en communications à l’Université Concordia (B.A. Comm – film studies 1975), Daniel Vincelette a entrepris de faire son chemin sur les plateaux de cinéma en travaillant d’abord comme assistant-caméraman puis cadreur pour d’éminents directeurs-photo québécois et également pour des chefs-opérateurs de renommée internationale tels Billy Williams bsc (Gandhi, On Golden Pond) ou encore Willy Kurant afc, asc (The Deep). Il a par la suite été appelé à faire de la direction-photo de deuxième équipe sur toutes sortes de projets dont certains d’envergure comme “Grey Owl” et “HighlanderIII”, pour enfin faire sa propre place et se faire reconnaître comme directeur-photo.
Grâce à ces apprentissages très diversifiés ainsi qu’à ces influences tant québécoises qu’européennes, son travail de direction-photo a par la suite couvert un large spectre, de la série télé populaire comme par exemple “Paparazzi”, “Les Steinbergs” ou “Undressed”, en passant par une impressionnante quantité de téléfilms pour les réseaux câblés, principalement américains, et plusieurs longs-métrages tels “Caboose” ou “Le Marais”, film pour lequel il a été mis en nomination pour les prix Jutra et Canadian Society of Cinematographers de la meilleure direction-photo en 2003. Il a aussi tourné des séries documentaires comme “Les mémoires de Pierre-Elliot Trudeau” et quantité de commerciaux.
Depuis la fin de ses études, Daniel Vincelette a été un membre éminent de la communauté filmique de Montréal et s’est tôt impliqué dans la représentation des techniciens du cinéma et de la télévision auprès des instances politiques. Il a été membre de comités conseils tel le ‘Conseil national du cinéma et de la télévision’ et a aussi conçu, planifié et donné de multiples ateliers professionnels pour ses collègues. Il s’est également intéressé de près à l’effet et à l’application des nouvelles technologies numériques sur les plateaux et sur tout le procédé cinématographique et a fait plusieurs recherches en ce sens. C’est d’ailleurs dans ce cadre de recherche qu’il est devenu le premier directeur-photo au monde à produire, tourner et post-produire un court-métrage (Le Gant - 2004) utilisant du début à la fin un procédé numérique 4K en tournant avec le prototype de la caméra Origin de DALSA et post-produisant en 4K chez Éclair en France. Il a par la suite été invité à prononcer des conférences et donner des ateliers sur ce sujet et le cinéma numérique en général au Canada, USA, France et Espagne, toujours heureux de partager ses expériences avec ses collègues cinéastes.
Sur les plateaux de tournage, Daniel Vincelette est réputé pour son ardeur au travail, son calme et sa convivialité, sa créativité et sa grande sensibilité qui l’ont rapproché des réalisateurs avec qui il a travaillé, mais également fait apprécier des acteurs qui trouvent en lui un collaborateur complice et un professionnel critique toujours prêt à leur tendre la main.
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